Ô SAISONS, Ô CHÂTEAUX (1957)

featured_ô_saisons_ô_châteaux
features_ô_saisons_ô_chateaux
Un film d’Agnès Varda
1957 
Court-métrage documentaire
22 minutes
35mm – 1/33
Couleurs

SYNOPSIS

Promenade autour des châteaux de la Loire montrés par ordre chronologique (de construction) avec commentaires, poèmes du XVIe siècle et réflexions de jardiniers.

Équipe artistique
  • Commentaire dit par Danièle Delorme
  • Poèmes de Pierre de Ronsard, Charles d’Orléans, François Villon et Clément Marot dits par Antoine Bourseiller
  • Mannequins : Clotilde Jano et Nina Peinado
  • Images : Quinto Albicocco
  • Robes et chapeaux : Jacques Heim et Svend à Chambord
  • Montage : Janine Verneau
  • Bande originale : André Hodeir – Jazz groupe de Paris
  • 1958 :
    – Sélection officielle au festival de Cannes
    – Festival de Tours
  • Sceaux 1982

Visa n° 18.741.

Production : Films de la Pléiade – Pierre Braunberger / Gisèle et Laurence Braunberger.

Distribution: Les Films du Jeudi.

Détails du tournage: Commande de l’Office National du Tourisme aux Films de la Pléiade. Sorti à Paris le 1er novembre 1958 en complément de programme du film Le Bourgeois gentilhomme de Jean Meyer. Extrait du film muet tiré de L’assassinat du Duc de Guise de Le Bargy et André Calmettes (1908).

Générique de la copie 35 n° 1

Pierre BRAUNBERGER 95 Champs-Elysées

Présente O saisons ô chateaux
Prises de vues : Q. Albicocco
Assistant : C. Terry
Musique : André Hodeir Jazz groupe de Paris
Robes : Jacques Heim
Chapeaux : Jacques Heim-Svend
Commentaire dit par Danièle Delorme
Poèmes dits par Antoine Bourseiller
Directeur de production : Roger Fleytoux
Assistant réalisateur : Jacques Phelipeau
Monteuse : Jeanine Verneau

Visa Ministèriel n° 18 741
Réalisation : Agnès Varda
Production : Films de la pléïade

« Plus je vois ce court-métrage d’Agnès Varda, plus je l’aime. À Cannes, il fut acclamé par le public et c’est justice. On y trouve fantaisie, goût, intelligence, intuition et sensibilité, cinq vertus dont aucune ne devrait jamais faire défaut dans les films. (…) Agnès Varda (…) s’amuse en tournant ses films, afin que nous puissions nous amuser en les voyant. »