
Un film d’Agnès Varda
1967 – Restauration 2K en 2013
Court-métrage documentaire
22 minutes
35mm – 1/66
Couleurs
SYNOPSIS
« Dans les faubourgs aquatiques de San Francisco, vit un Grec sur une péniche. Il peint des villes célestes et byzantines. Il navigue sur une barque à la voile latine. Il reçoit des hippies et des contestataires dans son bateau-maison. J’ai découvert qu’il était mon oncle d’Amérique et quel merveilleux bonhomme il était. »
Agnès Varda
Équipe artistique
Avec le peintre Jean (Yanco) Varda
Équipe technique
- Réalisation : Agnès Varda
- Assistant : Tom Luddy
- Images : David Myers
- Son : Paul Oppenheim
- Musique : Richard Lawrence, Yannis Spanos et Albinoni
- Montage : Jean Hamon
- Mixage : Jacques Maumont
Informations techniques
Visa n° 34.021.
Production : Agnès Varda.
Distribution: Ciné-Tamaris.
Détails du tournage: Filmé à Sausalito, dans la baie de San Francisco (USA), du 27 au 30 octobre 1967. Sorti le 18 janvier 1972 avec le film {Faustine ou le bel été} de Nina Companeez. 1ère diffusion dans “Dim, Dam, Dom” (ORTF) le 14 janvier 1968 (version de 14 minutes).
Restauration : Documentaire restauré en 2013 en 2K avec le soutien de The Film Foundation et l’Annenberg Foundation.
Générique original
Générique relevé sur Copie 35 n° 1 – version française
CINE TAMARIS PRESENTE
UNCLE YANCO
(Générique de fin)
DIRECTOR : AGNES VARDA UNCLE YANCO
CAMERA : DIDER TAROT
CAMERA : DAVID MYERS
SON : PAUL OPPENHEIM – JACQUES MAUMONT UNCLE YANCO
ASSISTANT RÉALISATEUR : JEAN HAMON
MONTEUR : ROGER IKHELF
MUSIQUES : YANNIS SPANOS (LYRA) RICHARD LAWRENCE (DECCA) ALBINONI (PONTANA) ECLAIR
FIN
Visa de contrôle cinématographique n° 34021















« Les interviews ludiques de Yanco, les collages animés, la description quasi idyllique des promenades en mer de Jean Varda avec sa troupe de bohèmes ne sont pas aussi gentillets qu’ils en ont l’air. Ce portrait d’artiste naïf et anti-conformiste est aussi le portrait d’une génération de San Franciscains à la fois innocente et libertaire, celle dont les principes de vie sont ceux du vieil homme. »
C. Clouzot, Cinéma