
Un film d’Agnès Varda
1984 – Restauration 2K en 2015
Court-métrage de fiction
27 minutes
35 mm – 1/66
Couleurs
SYNOPSIS
Une visite pas ordinaire dans un très grand appartement vide. 7 P., Cuis. S. de b…. Vide ou plein ? Une famille y a peut-être vécu, ou va y vivre. Une jeune fille va peut être s’en échapper… D’anciens vieux n’en sont peut être jamais partis… Le décor raconte lui-même un drôle de temps qui passe…
Il s’agit plus d’imaginaire que d’immobilier.
Équipe artistique
- Yolande Moreau : la servante belge
- Marthe Jarnias : la vieille dame
- Hervé Mangani : le père n°1
- Louis Bec : le père n°2
- Saskia Cohen-Tanugi : la mère n°1
- Colette Bonnet : la mère n°2
- Catherine de Barbeyrac : la fille aînée
- Pierre Esposito : le fils aîné
- Folco Chevalier : l’amoureux
- Michèle Nespoulet : la bonne servante
Équipe technique
- Réalisation : Agnès Varda
- Images : Nurith Aviv
- Son : Daniel Ollivier
- Musique : Pierre Barbeau (reprise de celle du film d’Agnès Varda Les Créatures, 1965)
- Montage : Sabine Mamou
- Mixage : Paul Bertault
Festivals et prix
- 1985 : Avignon
- 1986 : Clermont-Ferrand – Hong-Kong – Oberhausen – Gand – Festival Films et Folies à Paris
- 1989 : Journée Internationale des Femmes à Bruxelles
- 1995 : Visa pour Varda à la Cinémathèque de Moscou
Informations techniques
Visa n° 59.251.
Production : Ciné-Tamaris.
Avec le soutien de : avec le concours du C.N.A.P. et du F.I.A.C.R.E. au Ministère de la Culture
Distribution: Ciné-Tamaris.
Détails du tournage: Sorti le 8 janvier 1986, en première partie de Cléo de 5 à 7 en reprise au cinéma Le Saint André des Arts. Filmé à l’ancien Hospice de Saint-Louis d’Avignon pendant l’exposition Le vivant et l’artificiel conçue en 1984 par Louis Bec.
Restauration : Film restauré en 2015 en 2K avec le soutien du CNC
Générique original
Générique de la copie 35 n° 2 (générique de début : )
CINE-TAMARIS présente un film d’Agnès VARDA
“7P., cuis., S. de b. A SAISIR” visa d’exploitation : 59 251 © 1984
Ciné-Tamaris / Agnès Varda
Images : Nurith AVIV
Montage : Sabine MAMOU
Musique : Pierre BARBAUD







« Est-ce la maison elle-même qui se souvient ? Agnès Varda renoue ici avec la poésie de ses premiers courts-métrages. (…) et Varda rend poète le plus prosaïque des spectateurs. La jeune fille qui rêve de quitter la maison familiale, où elle étouffe sous la férule d’un père despotique, pourrait devenir Mona la libertaire, Mona l’insaisissable. »
C-M. Trémois, Télérama